THE RISE OF SELF-REPRESENTATION IN CANADA’S FAMILY COURTS: THE COMPLEX PICTURE REVEALED IN SURVEYS OF JUDGES, LAWYERS AND LITIGANTS

Auteurs-es

  • Rachel Birnbaum
  • Nicholas BalaandLorne Bertrand

Résumé

L’article fait le compte-rendu de quatre études connexes portant sur des parties à un litige de droit familial qui se représentent elles-mêmes. Il analyse ainsi une étude sur des parties à un litige de droit familial en Ontario, un sondage sur les perceptions des avocats de l’Ontario et de l’Alberta et une étude sur les juges canadiens. Il ressort de ces analyses, une nette augmentation des parties qui se représentent ellesmêmes dans les affaires de nature familiale. Le manque de ressources financières est la raison la plus souvent invoquée par les parties dans leurs décisions de se représenter eux-mêmes. En revanche, un nombre significatif de personnes non représentées ne croient pas que l’issue des procédures sera plus désavantageuse sans un avocat. Pour leur part, les avocats et les juges manifestent d’importantes préoccupations relativement au manque de représentation, notamment la diminution de règlements à l’amiable et un processus judiciaire plus lent. Tout ceci entraîne comme conséquence des coûts plus élevés pour les parties représentées par un avocat.

Mots-clés :

Droit familial, Litige, Accès à la justice, non-représentation, tribunaux

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Publié-e

2013-05-01

Numéro

Rubrique

Legal Commentary